Longue journée

-Quel journée, soupirait-je.

Mon conducteur ne dit rien, il m'emmenait à l'un des points de débarquement pour mon loft. La ville était luminescente de lumières artificiels, et le Vieux-Montréal resplendissait de milles feux. Le chauffeur n'était pas loquace? Et alors qu'est-ce que ça pouvait bien me faire? La journée avait été longue et je n'avait que faire de parler avec une armoire à glace.

Habituellement j'aurais essayé pendant toute la durée du trajet d'engagé la conversation, pas aujourd'hui, j'était trop fatigué et morose.

Il me déposa à un coins de rue qui se situait à environs dix minutes de marches de chez moi. Le trottoire était recouvert de neige et la rue plein de gadoue. À Londre, pour la bordé de vingt-cinq centimètres de neige qui était tombé durant la journée, personnes n'aurait été assez fou pour sortir dehors, ni même conduire par un temps pareil! Au Québec, il en fallait cinquantes avec vents violents pour que personnes ne sorte.

Je marchait dans les rues, fesant des détours allongeant par le faits même le trajets. Mais des années d'expériences en filatures mon apprisent comment éviter celles-ci. Et peut importe si l'on est fatigué, on peut toujours être suivi.

-Enfin arrivé, dis-je soulager avant de relever les sourcils de surprise. Mais qu'est-ce que...?

La rue était étrangement pleine de touristes qui se promenaient. Bien que l'hiver québecois attire particulièrement les touristes de partout à travers le monde, je trouvait étrange qu'il y en ait autant dans la rue au même moment. Bien que j'habite dans le Vieux-Montréal, mon apartement ne se trouvait pas dans la partie ''chaude'' du quartier. Alors voir une dizaine de touristes Japonnais qui courrait en se racontant leur journée! C'était un évènement à noter! De se que je comprenait, ils se dirigeaient vers leur hôtel de luxe à quelques pâters de maisons. L'un deux se rapproche de moi:

-こんにちは、私は<The Moderne>を取った私にホテルの方向を教えてください。dit-il dans sa langue et donc la traduction était <Bonjour, pourriez vous m'indiquer la direction pour l'hôtel <Le Moderne> je vous prit?>

-こんにちは、あなたは左に曲がり、ペイターの二つの家のために実行する必要があります。<The Moderne> 場合が見つける必要があります。répondais-je après un moment d'hésitation et avec un accent épouvantable. La traduction étant <Bonjour, vous devez prendre à gauche puis suivre pendant deux pater de maisons. <Le Moderne> devrait si trouver.>

Le touriste me regarda sous le choque. Je me débrouillait en japonnais et je crois que j'était l'un des premiers américains qui lui répondait dans sa langue. Il appela ses amis, leur dirent que je parlais leur langue et... il me bombardèrent de questions sur se qu'ils devraient visiter, où ils devraient allez manger, etc...

J'étais fatiguer, la journée avait été longue et j'avais travaillé comme un fou. Je n'avais plus aucune patience, après un instant j'avais essayé de leur faire comprendre sans aucun tact que je devais y aller. Ils furent un peu offusqués mais ils me remercièrent et ils repartirent vers leur hôtel.

Je partis du côté opposé, mon appartement se trouvait à être le deuxième étage d'un immeuble datant de deux cents ans. L'agence me l'avait accordé par mon poste de directeur adjoint de Montréal. Le hall était baigné de lumière comme d'habitude et j'entrai mon code d'entré de l'extérieur. La pointe de la technologie au niveaux sécurité, c'étais moi qui l'avait fait installé. Guard est mon deuxième nom et se n'était pas pour rien.

Le "majordome', qui était en fait le concierge habillé en rouge et qui disait à tout va qu'il avait fait des études en bonne manière, me salua de la manière habituelle:

-Bonsoir monsieur Dormier. Comment c'est passer votre journée au travail?

-Excellement bien mon cher Sorrow, répondis-je poliement, avec l'accent britannique que je prennais toujours en sa présence. Elle était très charger et je suis fatiguer, mais elle c'est excellement bien passer. Il s'est passer quelque chose d'intéressant aujourd'hui?

Rien évidemment. Je lui souhaitai bonne nuit et arriva finalement à mon appartement. Je débarrais la porte lorsque je vis de la lumière passer sous celle-ci. Je passai la main sous mon aisselle et m'aperçus que j'avais oublier mon arme à la base.

-Merde! Ce que je peux être stupide parfois! murmurais-je sous le coup de la colère. Et on me surnomme Guard? Quel imbécile je fais!

Mais je n'avais pas de temps à perdre et de toute façon l'intrus m'avait entendu commencer à débarrer la porte. Il pouvait s'enfuir par l'escalier de secour à l'arrière. J'ouvrit lentement la porte.

Absolument rien n'est-ce pas?

Damalius avait remarqué quelle que journée avant que une fête avait lieu dans la ville ,de plus de la neige ou des touristes,il voulu resté a l'écart et seul.Tout en marchant et ignorant les demande des touriste qui parlaient ,Damalius traversa une rue et tomba pile devant une voiture qui était quand même très distingué,l'homme qui en descendait marcha.Sentant une drôle d'impression en voyant l'homme débarqué au millieux de la rue comme en pleine tempete ,le naga décida de le suivre.Apres 10 minute de filature,L'homme qui était arrivé par voiture casi de luxe ,entra dans un loft qui lui était le contraire de la voiture.*qu'avons nous la ,un espion.En allant vers l'arrière du bâtiment,le Naga inspecta si il y avait personne et traversa le mur de béton.En suivant l'odeur du jeune homme qui était entré ,le Naga eux aucune difficulté a trouvé sa chambre.Tapis dans l'ombre de la chambre de celui-ci,Damalius attendait que celui-ci entre et dit:Pour un espion votre tactique de vous faire reconduire avec de telle voiture au milieu d'une tempête et vous logé dans des appartement miteux trahi tout.Tout en restant dans l'ombre

J'ouvrit la porte de mon appartement et me dirigeai directement vers la cuisine. J'activai un code rouge, une intrusion de la par de l'Alliancen'était pas quelque chose à exclure. Rien dans le couloir ni dans la salle de bain, la cuisine était vide elle aussi et de la cuisine je pouvais le salon. Les meubles comblaient l'espaces mais la cuisine était sur une estrade et personne ne pouvait ci cacher.

Vide lui aussi, je m'approchai alors du porte couteau et pris celui qui avait la plus large de pointe. Deux pièces restaient: la salle à manger et la chambre. La chambre restait la plus grande probabilité à cause de l'escalier de secours qui en sortait. J'ouvrai donc la porte d'un coup sec du pied le couteau en main.

- Pour un espion votre tactique de vous faire reconduire avec de telle voiture au milieu d'une tempête et vous logé dans des appartement miteux trahi tout. dit l'intrus.

Encore lui! Cela faisait des mois que j'e n'avais reçus de rapports sur l'homme qui avait molesté Juliet et voilà qu'il se trouvait dans mon loft qu'il traitait de miteux. La voiture qui m'avait reconduit n'avait rien d'une voiture de sport, c'était la berline la plus vendu de l'année rien de plus, le reptilien avait du sortir du pays un moment.

Mais me tombé dessus par hasard dans la rue? J'en doutais.

- Que faites-vous dans mon appartement? demandai-je feingnant la peur et en inventant une histoire dans ma tête. Un espion? Parce que j'ai débarqué à dix minutes de chez moi? Je fais du co-voiturage et mon ami n'avait pas le temps de venir me déposer à ma porte. Que me voulez-vous?

Damalius qui était entraîné a dissuadé tout mensonge par sa formation militaire sans compté celle de mercenaire ,n'eux aucune difficulté a savoir si cela était vrais.

J'ignore quelle sorte d'ami vous avez mais pour que vous ne lui dite pas un mot avant de partir ces étrange.De plus j'ai croisé une autre personne qui possédait une montres similaire alors cela prouve que vous faire partie d'une société quelle conque.

Damalius Sortie de l'ombre et se planta devant le jeune espion.

Et je croie que vous connaissez la même personne je me trompe jeune homme ? Et déposé ce couteau ,si j'aurait voulu vous tuez vous le seriez depuis longtemps et je n'aurait point engagé cette discutions.

Il m'avait découvert! Putain! La surprise du teindre mes traits et je perdis contenance pendant une fraction de seconde. Je n'avais pas le droit de parlez de l'agence à un civil, surtout à un qui en savait trop sur la question.

Je lachai le couteau contre ma volonté, l'intrus n'avait pas l'air agressif pour le moment et le couteau ne me valait rien de plus que la probabilité de me faire déchiqueté par un reptilien.

- Ma question tient toujours, répiquais-je en essayant tant bien que mal de reprendre contenance, Que faites-vous dans mon appartement et que me voulez-vous?

Damalius marcha en rond dans la chambre et se retourna vers Filips.

Vous sembler nerveux quand je parle de cette montre, de plus je souhaite vous aidé, car vous n'avez pas l'air a connaitre les miens et je peux vous être utile. En prenant le couteau au sole et se dirigea vers le mur ,dans l'instant même la main du Antonius passa au travers du mur pour y laisser tombé le couteau a l'extérieur.

Mais je connait plusieurs organisation secret et ils ne donne pas d'info au civile ou mercenaire alors je croie que tu va t'en tenir a cette règle pitoyable aussi ?

Damalius le regarda dans les yeux.

- Vous pouvez en être sûr, dit-je fermement, Je ne dirait rien sur mes employeurs sans que ceux-ci me le permettent.

Je m'accotai après la chambranle de la porte, mais je changeai d'avis, si ils avaient à discuter pourquoi ne pas le faire en attendant l'arrivé des renfort, le coeur battant j'offris à l'intrus conttre toute attente:

- Voulez-vous un café?

J'écartillai les yeux de surprise, je proposais du café à un ennemi? La fatigue et le stress sans doute mais... du café? Pitoyable!

- Je voulais dire, me repris-je rapidement, voulez-vous vous assir dans le salon si nous avons à discuter?

Se que je pouvais foiré lorsque j'étais fatigué putain!

Damalius resta a coté sur le mur par ou il était arrivé et n'Était pas surpris de la réponse de celui-ci.

Non je ne prend rien , d'accord pourquoi resté ici alors que vous avez surement un sofa confortable.Damalius suiva Filips et ce plaça sur le sofa .

Si vous ne voulez me parlé de vos employeur pourquoi me faire venir ici et m'offrire quelle que chose si vous savez quoi je suis.?

- Oh! J'en sais des choses sur les reptiliens, commencais-ĵe en tentant un sourire nerveux. Mais je ne sais même pas à quel race de ceux-ci vous appartné ni même votre histoire. Et les histoire me passionnent, surtout celle des reptiliens!

Les lumières du salon étaient éteintes, je me rapprochai de celles-ci et les allumai. Le code rouge avait sûrement atteint sa cible et l'équipe devait maintenant être en route pour venir voir de quoi il en retournait. Je me devait de le retenir.

- Au fait quel est votre nom?

Antonius , Mais tu peux m, appeler Damalius Je me leva et marchant dans la pièce pour regardé les truc, trophée ou autres chose que L'agent avait gagné au cours de sa vie.

Notre histoire ,nos mode de vie ou existence est fascinante pour les rare personnes qui croie en nous ou qui save que nous éxiston.Sachez que comme vous avez l'air de ne pas aimé ma présence alors je vais vous laissez.


Damalius se dirigea vers le mur pour y disparaître.

-Attendez, dis-je avant que le reptilien disparraisse dans le mur. Putain!

Une chance inespéré dans savoir plus sur les reptiliens venait de me passez sous le nez et je l'avait laissé filer. Ma main que j'avais levé bien inutilement retomba mollement sur l'accoudoir du sofa. La rencontre n'avait pas été infructueuse, mais elle aurait pu apportez bien plus à l'agence. Je pouvais maintenant donnez un nom au reptilien qui avait molesté Juliet dans le parc. Damalius Antonius, un nom plus Europe de l'Antiquité que Canadien moderne. Il avait donc des origines européennes. Mais il s'agissait sûrment qu'un faux nom, je ne pouvais pas mit fiez.

S'est alors qu'arriva l'équipe de récupération avec les questions habituels: Monsieur le directeur-adjoint! Comment allez-vous? Que c'est-il passer?

Mes réponse restèrent vagues et mon regard fixé sur l'endroit où le reptilien avait disparut. Dans mon for intérieur je savais que j'allais revoir cet homme de plus en plus souvent dans les mois à venir.